Tailler dans le respect du Vivant, greffer tout et partout !
4 jours pour explorer toutes les phases de l'autonomie alimentaire
Paysagiste, formateur, conférencier, blogueur, passionné de botanique et de vieilles pierres, je me suis installé dans une vieille ferme du cantal pour (re)mettre en place différentes techniques de permaculture, d'écoconstruction, d’agroforesterie et petit élevage.
Curieuse et passionnée de cuisine, de fleurs et plantes de toutes formes et couleurs ! Depuis 5 ans, je propose une cuisine avec des produits locaux, intégrant aussi des récoltes fraîches de fleurs et plantes sauvages lors de formations. J'aime mettre les mains dans la terre, observer et cueillir en nature, puis préparer de bons repas à partager ensuite à plusieurs. Un bon prétexte pour créer des moments de rencontres et d'échanges d'expériences.
Journaliste, je prête ma plume à des publications engagées comme Terra Incognita. J'accompagne dans leur communication des porteurs de projet engagés en faveur de causes sociétales et environnementales, notamment grâce à des campagnes de financement participatif (Projet Hermitage, Food Transition, Yggdrasil…). Je mène depuis quatre ans le projet Au Bonheur des Zèbres, à la fois communauté, série d’événements et livre en cours d’écriture. J’habite aux Escuroux avec Mathieu depuis février, et je compte bien apporter ma pierre à Prise de Terre.
Situées à la pointe extrême du massif central, à la limite de l’Aveyron et du lot, nichées contre la forêt, protégées du nord et bordées par son frais ruisseau, les vertes pâtures des Escuroux offrent leurs pentes fertiles au soleil du sud. Sur presque 2 hectares, l'écolieu est une vitrine vivante, un havre résilient et productif conçu en permaculture : agroforesterie multi-étagée, écoconstruction, gestion fine de l'eau, petit élevage, ...
Téléphone : +33 (0)6 19 84 90 67
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La crise du Covid-19 a marqué un point impensable dans nos sociétés riches occidentales : le ralentissement ou la rupture de certaines chaînes d'approvisionnement alimentaire. Elle a mis en exergue des faiblesses que l'on connaissait pourtant déjà comme l'absence globale de stocks de nourriture du à une politique de flux tendus, la destruction des terres agricoles autour des grandes villes et l'absence de "plan B" en cas de rupture. On a vu les premiers rayons vides et de longues files devant les banques alimentaires. Dans la sixième puissance mondiale, on a eu faim pour la première fois.
La question de l'autonomie alimentaire, autrefois écarté d'un geste, est en train de prendre ses lettres de noblesse et devient une véritable question de sécurité nationale. Les temps nouveaux sont arrivés, il est grand temps de s'y préparer.
Directement né de cette crise, la formation "autonomie alimentaire" a vocation d'être la plus exhaustive possible :
Merci à tous